Parpaillon le 29 ou le 30 aout (2015)

Si tu as une carte du coin vers Risoul, prends là aussi stp. Moi j'en ai pas, donc les traces du jour 2, je ne pourrai les montrer que sur l'écran du GPS sinon

D'ailleurs l'ensemble des fichiers pour GPS est dispo là http://kragone.free.fr/Parpaillon.zip

LilYoda a écrit:

La vache, jacquou, j'avais peur de faire mulet trop chargé, mais là je pense que tu me bats!  Elle avance encore? ;)

heureusement qu'on part 1 nuit 2 jour 

jaquoudedouze a écrit:

heureusement qu'on part 1 nuit 2 jour 

 

nomadbouca a écrit:

 

bon, viens de me lever... Va falloir charger la mule...

LilYoda a écrit:

bon, viens de me lever...  Va falloir charger la mule...

 lever à 6h reste plus que quelques bricole à mettre et depart à 8h comme ça le tranquille sur la route   à tout à l'heure

Alors voilà le parpaillon se termine bonne ballade, très bon bivouac bien rigolé. Retour ce matin avec pour moi une petite m...e: joint de culasse HS,j'ai pu faire guillestre Gap et j'attends mon fils avec la remorque

Courage Jacques, tiens nous au courant !!

WilliamXTZ a écrit:

Courage Jacques, tiens nous au courant !!

Alors je suis allé jusqu'à tallard et mon fils est venu me prendre avec la remorque et donc il n'y a plus qu'à changer le joint.

Cool. Du coup tu as utilisé l'huile pour faire cuire les deux saucisses qui restaient?

LilYoda a écrit:

Cool.  Du coup tu as utilisé l'huile pour faire cuire les deux saucisses qui restaient?

les saucisses à l'huile, sacrilège! bien congelées elles nous serviront pour la prochaine sortie

un super week-end, avec des pistes, un temps et une ambiance au top!!!  et une soirée autour du barbecue extra-ordinaire!

CR de ma part

Tout d'abord, découverte des subtilités de chargement des sacoches cavalières de ma part.  Vous vous souvenez, j'ai dit "faut charger la mule" à 6h44 du matin.à 8h15 j'ai envoyé un texto à Misty disant "je vais être à la bourre", car j'étais toujours en train de charger...

Je retrouve la bourrique au point de rendez vous, et on commence à monter vers la Bonnette.  Puis bon, après 20 bornes, faut faire le plein de café, pour les pilotes.

On en profite pour prendre le picnic de midi, et en repartant, on voit passez WilliamXTZ.  On fait donc la route ensemble... jusqu'à St Etienne de Tinée, parce qu'il faut remettre du café dans les pilotes.

Misty nous parle d'une piste contournant la Bonnette, qu'on met un peu de temps à trouver.  Pendant ce temps, Jacquou est déjà arrivé de l'autre côté à Jausier, et m'envoie des textos me demandant si on est encore vivants...  Bon, OK, on est environ 30 minutes à la bourre, mais lui est arrivé avec une heure d'avance.  Donc c'est nous qu'on a raison, nà!

On récupère Jacquou après la petite piste très sympa et la descente de la Bonnette.  On refait le plein (des motos cette fois), et zou, on prend la piste du Parpaillon.

Ou pas.  On rate un embranchement, le GPS de William perds le signal 3G (notez bien cette phrase, on va la répéter plusieurs fois   ).  Après avoir mangé le icnic (agrémenté d'une mouche pour ma part, elle est rentrée dans la bouche en même temps que mon sandwich), on trouve la bonne piste, et on commence la grimpette.

Au détour d'un virage, je vois un bidon avec housse isotherme par terre.  50m plus loin, un félé qui montait la piste du parpaillon en vélorizontal (en gros, il poussait sa machine).  Je m'arrête donc signaler au gars qu'il a perdu un bidon.

Environ 5km plus loin, et 400m de dénivellé plus haut, lors d'une pause, j'entends Misty hurler "meeeeeeerde j'ai perdu ma gourde".  J'lui dis "je l'ai vue sur la piste", elle sourit.  J'lui dis "je l'ai filée au félé en vélo", et le sourire disparait.  Bon, zen!    C'est qu'une gourde (la gourde, pas Misty, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit)  

Après quelques péripéties, et trop longtemps sans café, nous voilà arrivés



Avant de rentrer, Misty nous donne les consignes: "surtout faut passer au milieu, sur les côtés c'est défoncé".  On voit un 4x4 sortir, avec de la boue jusqu'au rétros, William commence à trépigner, donc on se lance.

Au bout de 50 mètres, la situation était la suivante:
- Misty roulait sur le côté
- Jacquou suivait Misty le côté
- Moi je fermais la marche, sur le côté opposé pour éclairer tout le monde
- et loin devant, William roulait bien au milieu, comme on lui a dit.

Enfin, quand je dis "rouler", faut imaginer un éléphant avec des patins à glace.  Sa XTZ nous faisait Holiday on Ice, dans l'espace central constitué à 95% de boue, et 25% de caillasses jetées au milieu pour faire des obstacles (oui ça fait plus que 100%, mais comme disait Raimu, "mais bougre d'imbécile, ça dépends de la grosseur des tiers")



Une fois le Parpaillon franchi (sur les côtés) on redescend, on rate la piste allant vers Crévoux car le GPS de William perds le signal 3G.  On assiste donc à une brillante démonstration de démocratie:
William: "on remonte pour prendre la piste"
Misty: "bah, comme tu veux"
Jacquou: "je sais pas"
Moi: "comme tu le sens"
William: "moi ça m'est égal"

Bref, après ce show d'enthousiasme de folie, on descend par la route, on se trouve un café dans la vallée, parce que  bon, ça fait longtemps qu'on en a pas bu.

Après le café qui s'est transformé en sorbets & smoothies, on repart, et là, le GPS de William perds le signal 3G, donc on rate la montée vers le col de la Coche.  On se retrouve à traverser la place derrière une église et interrompre un mariage, on passe à côté d'un premier refuge devant lequel les gens font un barbecue digne de faire cuire un méchoui.

"Mais où trouvent-ils les moutons pour le méchoui", qu'on se dit.  Bon on se le dit pas longtemps car 2km plus loin, je pile car un mouton traverse la piste.  Je le laisse poliment passer, lui, et son pote derrière.  Son pote est suivi par deux autres, puis douze, puis quarante.  Et moi j'attends qu'ils se calment, et arrêtent de traverser devant ma roue en courant, ces cons d'ovins!  Misty me fait judicieusement remarquer que du côté d'où ils viennent, qu'elle voit mieux que moi, il en reste environ 500, et que donc va falloir y aller...

Donc je fonce et je rate les moutons, et on grimpe jusqu'aux pistes de Risoul, non sans avoir dépassé un second refuge.



On évite les vaches qui s'enfilent entre elles sur les côtés de la piste, je cherche la route sur mon Garmin car le GPS de William perds le signal 3G, et là on se retrouve face à une montée, du type "montée infernale".

Je suis devant, j'essaie de m'arrêter, la roue avant commence à déraper et la moto à reculer en crabe, du coup: première, gaz, et je me lance.  Plus je grimpais, plus la cote se raidissait.  Je me souviens me dire "si je coupe les gaz c'est mort!".  Ou alors était-ce "si je coupe les gaz je suis mort!"?  Ou bien "je suis mort!", je sais plus.  Ce que je savais pas, c'est que j'étais en train de grimper une piste noire:



Une fois arrivé en haut de la piste Razis, par la grâce du dieu des marmottes, et avec probablement l'aide de mon T63 à l'arrière, j'appelle William pour que surtout personne me suive dans cet enfer vertical.  Mais pas de bol, Misty a tenté, et s'est mise au tas

Je laisse ma moto en haut, et je descend, on vérifie les bobos, et là faut redescendre les 3 motos plantées au milieu de la montée.

1) On descend la moto de Misty à 3, William, Jacquou et moi.
2) On remonte, et on descend la moto de William à 3, William, Jacquou et moi.
3) On remonte, et on descend descend la moto de Jacquou à 2, Jacquou et moi.

Vous le sentez venir le gag?  Là je les regarde, je suis cuit par les efforts, eux ils sont contents, ils ont tous leur moto, et moi j'ai la mienne en haut d'une *@! de piste noire.  100 mètres de dénivelé plus haut!

Je remonte à pieds pour la 4ème fois cet enfer sans nom, j'arrive en haut en vomissant mes poumons.  j'ai le temps de démarrer la moto pour allumer le GPS et là je vois William arriver à pieds par l'autre côté de la montagne, en petit footing!

En fait c'était vachement plus simple de l'autre côté.  Mais bon, je m'en fout, on est à 2500 mètres d'altitude, j'ai plus d'oxygène qui arrive au cerveau, donc je remonte sur la moto et je laisse William redescendre à pieds, non mais.

Je vous donne la trace GPS de cette montée infernale, je ne sais pas quel pourcentage de pente, mais ça m'a semblé être du 45 par endroits.

http://kragone.free.fr/Parpaillon.zip

Donc on le note les enfants: la piste noire des Razis, à éviter, quoi...

Et dans tout ça, on a toujours pas trouvé le bon refuge, le GPS de William perds le signal 3G, on sait pas comment rejoindre le refuge, Misty a mal au pouce, et à l'épaule, donc on se jette dans un pré sur les pistes redescendant vers la station de Risoul



On se rend compte qu'on a oublié de prendre le pain, le fromage, et de remplir le jerrycan d'eau, mais on s'en fout, on a du pastis et des caouettes.

Jacquou sort le barbecue magique. "Allumer le barbecue et attendre 20 minutes", qu'ils disent sur l'étiquette.  Mon CUL, oui!  On a mis deux bonnes heures à faire cuire les 20 saucisses, en ajoutant du bois dedans, et en soufflant dessus sans arrêt.  A un moment, lorsqu'une flamme à jailli, on a entendu un cri dans la montagne disant "tiens, prends ça dans ta gueule, saucisse de m...e!"


Bref, on avait un volume limité d'eau (entre 5 et 6l pour 4 ),n donc on décide de boire le vin, pour rationner la précieuse eau.  Puis après le vin, on a attaqué le génépi.  On a terminé  par des gâteaux de dessert, et les dernières saucisses, éclairés par une pleine lune qui brillait dans un ciel magnifique.



Épuisés d'avoir rigolé pendant 3 heures autour du "feu", on va ronfler comme des loirs.

Ce matin, on descend à Guillestre, après avoir cherché "Risoul ville" ("mais t'es sûr que ça existe William?" "Oui, je l'avais sur mon GPS, mais là j'ai pas la 3G, et en plus j'ai plus de batterie")

Jacquou découvre que sa Ténéré lui repeint les bottes à coup d'huile de vidange, et William ayant ses devoirs de papa à accomplir, il ne reste que Misty et moi

Donc on va boire un café

On rentre tranquille par le col de Vars, puis la Bonnette, pour que je fasse ma photo rituelle, et prouver que ma belle arrivé à monter à 2800m d'altitude!



En redescendant, il n’est plus trop l'heure du café, mais on commence à avoir la dalle.  Donc on s'arrête bouffer, je commande un tartare, la serveuse m'apporte une demi vache hachée (environ), avec des frites.

Sur le trajet restant, je sentais une fatigue me prendre, je me suis fait doubler par des voitures tellement je me traînais, c'est dire.

Misty rentre vers Nice, je rentre chez moi comme un zombie, une douche, et pouf, une sieste.  J'ai été réveillé à 20h15 par mon gamin qui venait me dire que "ayé, on mange"

Un excellent week-end, a part le bobo de Misty (tu vas au toubib surveiller ça, hein?).  Un bivouac excellent, même si on n'a jamais trouvé le bon refuge.

Bref, j'ai rodé mon T63

Superbe cr!
Superbes photos!
Superbe virée ! 

Mais pourquoi je bosse les week-ends?!!

Excellent ! Merci pour le partage

Merci pour les photos et le CR, fais nous en d'autres comme ça, ça met tout de suite plein gazz et de bonne humeur pour démarrer la semaine, je me suis poilé un max 

J'ai trouvé les infos sur cette montée à la £%$€@!



30,5% de pente au plus raide... Pourtant j'ai eu l'impression que c'était bien pire

Merci pour le CR, excellent 

@ William, faut investir dans un vrai Gps, ça le fait pas en montagne le smartphone/ Trop de zone blanche! 
@ Misty, bon rétablissement

Superbe CR . j'étais mort de rire .....  
Un grand MERCI

Encore une bonne virée T&B avec tous les ingrédients nécessaires : beaux paysages, petites galères et bonne humeur !

LilYoda a écrit:

J'ai trouvé les infos sur cette montée à la £%$€@!



30,5% de pente au plus raide...  Pourtant j'ai eu l'impression que c'était bien pire

c'était pire

y se sont plantés, c'est 70% qui font 100% quand on a le bon tiers!

HUSKY26 a écrit:

Merci pour le CR, excellent 

@ William, faut investir dans un vrai Gps, ça le fait pas en montagne le smartphone/ Trop de zone blanche! 
@ Misty, bon rétablissement

merci, merci............. c'est en cours, c'est pas grave juste le pouce enflé mais qui fonctionne, la bourrique est solide

la preuve j peux tenir un verre

pour l'excellent cr plein d'humour du dessus, c 'est tout comme il a dit Lilyoda


pour la mouche d 'un coup vous entendez, pendant que vous avalez une bouffée de votre sandwich: "tiens j ai mangé une mouche"........... du coup vous l'avalez un peu différemment votre bout de sandwich




pour le tunnel du parpaillon, pour l'avoir fait plusieurs fois, j savais qu'il y avait un endroit où pas passer.......... comme mes bottes d'enduro, retenez bien les bottes d'enduro, m'avaient sauvé la mise lors de la rencontre du bout du fer avec une caillasse, que dis-je un bout de rocher, dans mon souvenir vieux de trois ans, et dans les précédents vieux comme ma robe, ça c'était transformé en " fô pas passer sur les côtés". y me semble pas avoir rajouter, "je crois" je crois bien. donc tout le monde au milieu
l'expérience du passage sur la patinette du milieu s'est transformé en rires à la sortie du tunnel et restera parmi nos souvenirs z'épiques





ma gourde, oui c'est bien elle, ce récipient qui a contenu le souvenirs de tant de fontaines montagnardes rencontrées, si belle toute cabossée, j ne me suis pas posée la question une seule seconde de savoir si j'allais la rechercher.... le cycliste a dû reconnaître la qualité du vécu d'une bonne gourdasse à l'autocollant de la bonette posé dessus





l arret au bar..... on a regardé avec un soupir de convoitise les fauteuils hamacs à portée de main, on a regardé le grand pré où on aurait pu poser nos tentes, humé la saveur des pizzas notées sur la carte... déjoué le piège des 3 cartes différentes pour trouver celle des smoothies glacés!




et c'est sous une température paradisiaque qu'on continué grandement contents de se dire qu'on allait dormir en altitude en prenant le temps de déguster les paysages




les moutons, oui ils n'en finissaient pas d'arriver, on se serait cru dans un remake du seigneur des agneaux


la piste du domaine skiable géniale aussi




jusqu'à


nan nan c'est pas un truc à 30 et quelques pour 100, y se sont plantés........... au début ça monte, fort, avec des ravines.. ça passe, ça passe
pis d'un coup, là où on voit les motos arrêtées de William et Jacques, plus loin on distingue un mur
c'est ce que je me suis dit, si je me souviens bien, une fois que j suis rentrée dessus, tain un mur d'escalade


soit escaladons


ahhhhhhhhhh, j'ai jamais vu un truc comme ça


soit vautrons






la protection intégrale c'est le top, l'épaule a tapé fort mais elle n'a rien du tout......... le pouce, j ai dû vouloir faire du stop au moment de l'éjection, là il est déjà moins type saucisse et la rougeur a disparu, ça va suivre doucement son cours, et ça n'empêche pas de rouler


le pied............. enfin nan ça c'était pas bon. la botte d'enduro donc, m'a sauvé le pied....
"j suis coincée" que je dis d'un doux murmure à William et Jacques que j peux pas voir pasque........... j suis effectivement coincée et que j peux pas me retourner
j'ai déjà eu le pied coincé une paire de fois sous la bourrique mais là la différence c'est qu'il est coincé différemment et que ahhhhhhhhhh ça fait très mal


avec ma souplesse de fer à repasser, j'arrive quand même à me redresser, et tout en quittant la version vautrée par terre, mon haut du corps et surtout mon long bras va couper le contact pasque l'essence coule......... allègrement


je me revautre par terre pasque le pied c'est comme dans le film "la paroi"........ mes compagnons de piste se dépêchent comme ils peuvent d'escalader le mur pour venir me dégager de sous la moto.......... et là y z'ont une sacrée montée à escalader, un mur quoi


ben, y z'ont réussi, chapeau à eux


et là miracle, que dis je racle entier, je me lève et je marche, la botte d'enduro m'a sauvée mon pied, une fois que les doux 130 kgs de la bourrique n'appuient plus dessus, il n'a absolument rien


la tite brûlure au coude c'est la protection qu'a bougé pasque je n'avais pas assez serré le lien sur l'avant bras


pour la descente des motos, ça s'est passé comme ça.......... même à pied pour la descendre c'était quelque chose


bref, une fois que j'ai eu récupéré de la gamelle pendant que William et Jacques partaient sauver Lilyoda d'une nuit solitaire à 2 500 mètres, notre petite troupe s'est reconstituée en ordre de marche loin du mur de c' te piste noire c'est noir…... on est partis à la recherche de notre campement, ah nan pas là, y a un troupeau de berger parqué juste en dessous


à 2000 m est arrivée "la prairie", et une fois posés, on a été comme des coqs et une poulette en pâte........... ce bivouac était génial avec des rires et de la bonne humeur à volonté
juste un peu d'humidité chassée par les fumées du barbeuc, une fois que ces saucisses ont décidé de bien vouloir griller


et la nuit, un poème...... c'est extra-ordinaire un campement sauvage


un grand grand merci à mes compagnons qui tous trois ont réussi à redescendre ma bourrique tout en douceur dans cette pente infernale, qui tous trois m'ont soignée, nan j'ai pas hurlé avec l'alcool à 90 de William, oui j'ai avalé le comprimé pour la douleur de Lilyoda, et oui le bandage de Jacques autour du pouce m'a fait grand bien


la réussite d'une sortie vient au départ de l'entente et de l'humour des participants et de leurs partages.... celle-ci a été totale, oui une sortie comme on les aime avec tout ce qui fait un grand tout............ et des souvenirs qui resteront gravés cela va de soi pasqu'on était bien, tout simplement!


William et Jacques, vous avez raté l'arrivée du dimanche midi au resto de st étienne de tinée........ les mangeurs au grand complet ont vu arriver deux espèces de motard(e)s échevelés, parfumés au graillon du barbeuk de la veille, boueux et poussiéreux à souhait............. mais heureux!


Ps: avez-vous remarqué que sur la photo de la montée de la piste noire on a retrouvé la mouche de Lilyoda!

J'aime votre aventure... belle sortie... rigolade,  et belles etoiles, style... , merci pour ces jolis CR passionnants

parfait les CR et en plus ce n'est que la vérité tres bonne ambiance et bonne virée mis à part que j'ai fini les cheveux au vent sur une remorque 



une vidéo va suivre ou nous verrons parfaitement la traversée du parpaillon en attendant le lien des photos:
https://photos.google.com/share/AF1QipONbN3cl5djRp0KpVNQcQZAhBUhiDdSpQj0RFLebUvnqUZuS08YnzesJ2fyYG3pOQ?key=LV9EWk1JUzE5LVFjTnpsamVUZ2s0RmZ6NUhzUDdB

content d' avoir fait cette virée avec vous trois on a bien rigolé.
A bientôt j’espère les amis

Joli joli, ça donne envie...

A titre d'info, vous comptez combien comme vitesse moyenne pour ce type de pistes?